Après une carrière dans le monde médical et un passage aux États-Unis, le couple est revenu aux sources avec un projet qui lui tient à cœur : faire de l’Auberge de la Petite Casserole bien plus qu’un simple restaurant. Leur objectif ? Offrir une opportunité d’insertion professionnelle aux personnes en situation de handicap intellectuel tout en créant un lieu chaleureux et vivant au cœur du village. Dans cette auberge pas comme les autres, valides et personnes en situation de handicap travaillent main dans la main. Ici, on valorise les compétences de chacun, on s’adapte aux besoins, et surtout, on partage des moments de joie autour d’un bon plat. Une cuisine sincère et de terroir Côté cuisine, ça sent bon les produits frais et les recettes concoctées avec amour. Chaque semaine, la carte propose deux entrées, deux plats et deux desserts, tous élaborés à partir de produits locaux. Les fils d’Antoine et de Gaud, Emmanuel et Gabriel, mettent la main à la pâte pour confectionner des pâtes fraîches maison avec de la farine bio meulée à la pierre du village. Au menu ? Des plats généreux et réconfortants comme la daube provençale, le veau marengo ou encore le canard à l’orange. Les légumes, soigneusement sélectionnés au jardin de la Tuilerie, sont cuits à la vapeur pour préserver toutes leurs saveurs. Quant aux fromages, ils viennent tout droit du village, et certains ingrédients d’ailleurs, acheminés par bateau à voile pour une saveur authentique. Les becs sucrés ne seront pas en reste avec les desserts maison de Gaud : tarte bourdaloue, gâteau à l’orange, cannelés, madeleines ou encore sa spécialité, le gâteau à la pistache. De quoi terminer le repas sur une note gourmande et ensoleillée. |